Discution ou autre ... [PV HEAVEN]

>> Jonathan se leva tôt aujourd'hui.Le jeune homme avait une journée extrêmement remplie.Il avait au moins quatre séances photos pour Dolce & Gabbana.Il se leva donc et s'assiya un moment sur son lit, la tête encore un peu dans les vapeurs.Après environ cinq minutes, notre beau brun se dirigea vers la salle de bain pour prendre une bonne douche qui l'aidera surment à ce réveillé.Il entra alors dans la salle de bain, se regardant dans la glace au passage.Il avait vraiment une sale tête, une tête de zombie, les cheveux coiffaient n'importe comment, bref un grand n'importe quoi.Après cette entrevue dans la glace, le beau brun se déshabilla et entra dans la douche, près pour son réveil en douceur.Jonathan ouvrit les robinets et mit un moment avant de trouver la bonne température, mais une fois cela fait, c'était parfait!!Elle était vraiment très bonne, elle coulait lentement sur le corps du jeune homme.Il se savonna tout le corps, ainsi que ses cheveux avant de rinçer le tout.Il sortit de la douche et de la salle de bain une serviette autour de la taille.

>> Une fois sortit, le jeune homme se retrouva devant son armoire à réfléchir.Ouais c'était toujours un calvaire pour lui de savoir ce qu'il allait mettre aujourd'hui, le choix crucial!!Il opta alors pour un jean classe rayé noir, d'une chemise blanche avec des rayures dessus.En chaussure, il choisit de mettre des chaussure pointue blanche, assortit à sa chemise puis il mit sa veste longueBref le beau brun se mit un coup de serviette sur la tête et voilà, il était enfin près à partir pour une journée...super chiante ou bien super bien...Il prit son sac de mannequin, qu'il mit sur une épaule et se cassa de la chambre.

>> Dehors, il faisait déjà beau mais pas très chaud.Le jeune homme avait bien eut résons de mettre sa veste longue...En même temps, Jonathan a toujours raison, même quand il a tort car il n'accepte pas qu'il puisse avoir tort.Il en comme sa, mais c'est comme sa qu'on l'aime nan?Bref comme il n'avait pas du tout déjeuner ce matin, le jeune homme passa au café prendre un chocolat chaud et un croissant.Il eut fini cela en 10 minutes, après cela direction les studios...Jonathan marchait d'un pas rapide dans la rue, ne voulant pas arriver en retard, car déjà une fois, cela suffit...

>> Il arriva devant l'établissement, avec non pas une grimace mais un sourire, vous deviez vous en douter, Jonathan adore son métier.Il monta les marches, elles menaient dans le grand hall.Là-bas, il y avait déjà pleins de monde.Valentin disa bonjour à tout le monde, car c'est une star dans les studios.Ouais, il a couchait avec la plus part des filles...Bref il se prépara pour ses séances photos.Il finissa tout cela vers 16h.Il repartit alors dans sa chambre.

>> Une fois arrivé, le beau brun enleva sa veste et s'écroula sur son lit.Il avait eut une journée bien remplie.Il n'avait même pas déballer son sac, ni fermer sa porte de chambre...

Journée disons merdique pour Heaven. Un levé atroce. Un déjeuné atroce. Une douche atroce. En clair une journée atroce.
On aurait pu croire que la journée d’un mannequin c’est le paradis, qu’on se lève à 11h30 avec un petit-déjeuner au lit et qu’on nous chouchoute toutes la journée. Non loin de là.
Et puis même si cela avait été le cas, Heaven n’en n’aurait pas voulu.
Malgré ce job dit facile de mannequin, elle était restée la même. Idiote sur les bords, égocentrique, libertine. Elle n’avait pas changé. Heureusement ou malheureusement. Tout dépend de quel point de vu on voit les choses.
Aujourd’hui Heaven n’avait pas beaucoup de boulot, juste une séance de photo pour je ne sais trop quelle marque dont elle se fichait royalement. De toute façon se retrouver en couverture de ce magazine-là ou de celui-là, elle s’en fichait bien, l’importance c’était l’argent. Le reste qu’importe.
C’était une belle chance que la séance photo se déroule l’après-midi, ainsi elle aurait toute la matinée à glander et faire ce qu’elle veut, de plus que les photos le matin, c’est pas son truc, on a souvent très mauvaise mine.
La belle blonde resta assise sur son lit en bataille pendant quelques instants. Elle n’avait ni envie de déjeuner, ni de se laver et encore moins de s’habiller.
Elle prit donc son carnet et commença à écrire ce qui lui passa par la tête

« Adieu Paradis perdu. Nous abandonnons quelque chose que nous n’avons jamais eu. »

Adieu Paradis perdu … Nous nous dirons aurevoir, Paradis perdu. Heaven. Heaven était peut-être un perdu au milieu de nulle part. Perdue dans quelque chose qu’elle n’a jamais eue. Et si c’était là qu’elle voulait être. Et si, toujours le « et si » Et si j’avais été belle, et s’il m’aimait et si. Allait-elle un jour vivre sans ce « Et si » pour cela il faudrait abandonner ce Paradis perdu. Chose que nous n’avons jamais eue. Jamais. Le mot de jamais, elle le détestait autant qu’elle détestait le mot toujours. Les deux étaient l’impossible pour elle. Aujourd’hui, elle devait abandonner un nouvel espoir. Un paradis. Nous laissons tout derrière nous. Tout. Qui sommes-nous ? Un proverbe africain dit : Si tu ne sais plus d’où tu vas, arrête-toi et demande-toi d’où tu viens.  D’où elle venait ? de loin. De très loin. Elle n’avait pas non plus franchi les mers et les océans.
Soudainement, Heaven se leva et tira brutalement les rideaux de sa chambre. Qu’est ce qu’elle faisait là ? Dans cette chambre, dans cette hôtel, dans ce pays. Elle n’était pas à sa place. Mais alors où était sa place. Loin. Si loin qu’elle ne serait même plus vous dire ou est sa place. Peut-être qu’en fait nous n’avons pas de place précise. Nous sommes sur un jeu géant. On nous déplace, on nous déplace jusqu’à la fin. Puis on se retrouve face à un roi, et voilà nous sommes hors-jeu. Hors-jeu, impossible de savoir si Heaven était hors-jeu, une chose était sûre, la place qu’elle occupe sur cet échec est loin d’être la plus idéale.
Vers 14 heures, Heaven sortit enfin de l’hôtel. Cheveux en bataille, cernes sous les yeux, yeux brillants, tenue négligée. Elle n’avait aucune raison de faire un effort aujourd’hui, alors pourquoi en ferait-elle ?
Elle s’avança vers un taxi, les paroles de you’re beautiful dans les oreilles.
Cette chanson l’aimait-elle ? Bonne question. Peut-être.
Tout dépend des moments. Tout dépend de tout.

You're beautiful, it's true.
There must be an angel with a smile on her face,
When she thought up that I should be with you.
But it's time to face the truth,
I will never be with you.

Et effet, jamais elle ne sera avec lui. Jamais.
* Tu sais grand frère, quand j’ouvre les yeux je ne vois que noir, j’ai beau essayer de regarder, je ne vois que noir, que néant. Je suis si vide. J’ai beau rire, sortir et tout, en fait je ne sais pas si je suis heureux. Le bonheur… L’homme n’en entrevoit que des apparences, celle qui essaie de lui donner le voisin. On envie toujours quelqu’un, on croit toujours que quelqu’un est supérieur à nous. Le bonheur n’est qu’une illusion optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l’infini. N’essayez pas de remonter à l’image d’origine, il n’y en a pas.
Ne dites pas que le bonheur est éphémère. Le bonheur n’est pas éphémère. Le sentiment ressenti est pris pour le bonheur quand on est amoureux, quand on a réussi quelque chose, c’est le sursis avant de comprendre l’erreur : l’être aimé ne ressemble à rien, ce que vous avez réussi ne rime à rien. Cela ne vous pas malheureux mais conscient. Le bonheur ne se finit pas, il se rectifie.
Mon bonheur ? Qu’est il devenu ? Je ne peux pas dire que je suis malheureux. Mais je ne suis pas non plus heureux. Je suis …
Qu’importe. Vivons.
Comme on dit : On sait comme vivre reste à savoir pourquoi. *

Après cette séance photo qui dura plus longtemps que prévue. Heaven rentra enfin à l’hôtel, et à sa grande surprise elle n’était pas fatiguée. Pas du tout.
D’un côté, la séance photo avait si génial que tout c’était passé si vite.
Notre belle blonde monta les marches de l’escalier sans vraiment regarder ou elle marchait. Puis elle s’arrêta devant sa porte mais au moment d’enfoncer la clef dans la serrure, elle remarqua que la porte était entrouverte.
Elle avait encore dû oublier de fermer la porte en partant ce matin. Cela commençait à être une habitude. Elle entra donc dans la chambre comme on entre dans un foutoir, et remarqua comme quelqu’un sur son lit. Attends non. Ce n’était pas sa chambre. Putain quelle idiote –‘

« Désolée »

Dit- elle en regardant de face le jeune homme.

>> Jonathan était toujours sur son lit.Il ne savait pas quoi faire, ou plutôt, il ne trouvait pas la force de faire quelque chose.Enfin si, il ne faisait que de fermer et ouvrir ses yeux.Il ne savait pas si il avait envie de dormir ou pas.Cela était vraiment une sensation bizarre, une sentation qu'il retrouvait après chaque séance.Il était allongé sur son lit , le regard en direction du plafond, les maisn derrière la tête.Il pensait à cette rumeur qui le tourmenter, cette rumeur qui disait qu'il allait être père, ayant fait soi-disant un enfant à Anaïs, la fille avec qui il couchait régulièrement.Il repensait aussi à la nuit passer avec Amanda, de plus quand il l'avait revue à l'hôtel, cela lui fit bizarre.Il ne savait plus où il en était...En attendant coucher avec deux filles différentes lui plaisait bien...Il avait toujours un peu son âme de Don Juan mais peut-être que cela lui perdra bientôt.Il souriat et trouva la force de se relever.Une fois debout, le jeune homme se dirigea vers sa veste et tira de sa poche un paquet de cigarette.Il en prit une et lança le paquet sur son lit.Jo' ouvrit la fenêtre et alluma sa clope.Il tira une grosse taffe dessus, histoire de bien l'allumée.Le soleil avait montré le bout de son nez, le ciel était d'un bleu d'azur, à la fenêtre, Jonathan se cru en train de voler dans les airs, une sensation tellement douce et agréable.Il retira une taffe et se retourna rapidement entendant une voix.Cette voix, il ne là connaissait pas, pourtant c'était une voix féminine.Il aperçut alors une jeune fille, une jolie blonde dans sa chambre, pourquoi elle était là?Aucune idée mais il allait bientôt le savoir.Il était même très curieux de la veu de cette beauté.Il entama la discution, ne soyant pas timide, car il ne l'était jamais, surtout avec des filles.

>> Pourquoi désolé?Non moi je remercierais plutôt dieu de m'amener une fille aussi jolie que toi!Moi c'est Jonathan...Jonathan Evans mais apelle moi Jo'!Et toi c'est comment?Mais dit-moi, que fait tu ici?

>> Jonathan regarda longuement la jeune femme dans les yeux avant, comme tout homme, de regarder la plastik de la jeune fille.

Heaven resta planter devant le jeune homme. Son visage était neutre comme d'habitude. Pourquoi n'exprimait-elle aucune émotion ? La fatigue, son humeur. Non rien de tout cela.
Le jeune inconnu se redressa de son lit. Elle le fixa toujours sans un mot, sans un sourire. Juste son regard parlait pour elle.
Un regard profond. Un regard bleu azur. Un regard qui signifiait son nom. Souvent les gens trouvent le nom " Heaven " bizarre. Donnez le nom de paradis à une fille si simple si banale. C'était le père d'Heaven qui lui avait donné ce nom en référence aux yeux bleus de cette dernière. Étrangement, Heaven a complexé sur ces yeux qui signifiaient son prénom. Sans ces yeux elle n'avait plus de raison de s'appeler d'Heaven. Pourquoi avait-elle un esprit si tordu ? Que de question, comprendre Heaven cela serait chercher le pourquoi du comment. On ne vous à jamais dit que cela ne servait à rien de chercher le pourquoi du comment. Si. Alors ne cherchait pas à la comprendre. A moins d'être comme elle. Cela ne sert à rien. A rien. Rien ...
Le jeune inconnu qui ne resta pas inconnu longtemps lui dit que cela n'était pas la peine d'être désolé. Après tout c'est comme il veut, puis il commença à se présenter. Jon. Etrangement notre belle Heaven affectionnait beaucoup ce prénom.

" Heaven. "

Répondit-elle sur un ton tout aussi neutre que son visage. Toujours pas un sourire. Pas une voix chaleureuse ou sensuelle. Rien du tout. Neutre, pourtant Heaven n’était pas indifférente au jeune homme. Loin de là. Loin de là …
Puis ce dernier demanda ce qu’elle faisait ici. Bonne question. Elle avait le choix : ou lui répondre que comme une idiote elle c’était trompé de chambre ou elle pouvait aussi lui dire qu’elle était là pour le rencontrer.
Bon soyons réalistes. Aucune des deux réponses était bien. A moins évidemment qu’elle veuille passer pour une idiote qui ne sache pas reconnaître sa chambre ou qu’elle passe pour espèce de fille facile avec tous ses sous-entendus.

« Si je te le disais tu rigolerais »

Voilà, ça c’est la réponse pille poil entre les deux. La réponse qui en fait ne devait pas plus avancer le jeune homme. Une réponse explicite qui n’allait rien lui apprendre.
Heaven continua de fixer le regard foncé de Jon. Elle ne regarda nulle part d’autre que la profondeur de ces yeux. Pourquoi regarder ailleurs. Regarder ailleurs c’est ce que fit Jon.

« Je peux ? »

Demanda Heaven en désignant le lit. Vu qu’il n’avait pas l’air d’être près à la laisser partir, il vallait mieux qu’elle s’asseye et quitte à être assis mieux vaut être assis sur quelque de confortable.

Dsl pas le temps de faire plus --'

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